Services pour les frontaliers

Les frontaliers sont confrontés à des questions complexes en matière de prévoyance (assurance maladie, caisse de pension, troisième pilier). Nous les aidons à prendre les bonnes décisions. Au début comme à la fin d’une activité professionnelle en Suisse.

Travailleurs transfrontaliers Allemagne

Plus de 60 000 frontaliers allemands travaillent en Suisse et sont donc soumis à deux systèmes de sécurité sociale différents, ce qui rend la consultation d'autant plus complexe et importante. L'accent est mis sur les questions de prévoyance : assurance maladie, protection contre les risques de la vie (invalidité/décès), épargne-pension fiscalement optimisée, planification de la prévoyance. Haysen dispose de l'expérience et des connaissances nécessaires pour vous apporter le meilleur soutien possible. Nous déterminons avec vous la couverture dont vous avez réellement besoin et évitons les sur- ou sous-couvertures.

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Solution d'assurance maladie pour les frontaliers allemands

Selon le principe du lieu de travail, les frontaliers allemands doivent s'assurer en Suisse conformément à la loi sur l'assurance maladie (LAMal). En 2002, les frontaliers suisses ont obtenu un droit d'option qui, à la différence du principe en vigueur dans l'UE, leur permet également de choisir une assurance maladie en Allemagne. Dans un délai de trois mois, les frontaliers doivent choisir l'une des différentes options d'assurance.

Les personnes qui commencent un nouvel emploi en Suisse en tant que frontaliers allemands ou les personnes qui quittent la Suisse et deviennent des frontaliers.

Dans ces cas, il y a la possibilité d’être soumis à la loi suisse sur l’assurance maladie (LAMal) ou d’en être exempté. En cas d’exemption (exercice du droit d’option), les frontaliers peuvent s’assurer en Allemagne auprès de l’assurance maladie obligatoire (GKV) ou de l’assurance maladie privée (VVG). Les critères de décision sont les différences entre les prestations d’assurance du pays de résidence et du pays d’emploi et le montant des primes.

Les personnes qui exercent déjà une activité professionnelle en tant que frontaliers et qui se sont dispensées de l’assurance obligatoire.

Les frontaliers peuvent s’assurer :

auprès de l’assurance maladie obligatoire allemande (GKV)
auprès de l’assurance maladie privée allemande (PKV)
en Suisse, conformément à la loi suisse sur l’assurance maladie (LAMal).

Actuellement, s’assurer auprès de l’assurance maladie suisse n’est possible que si les frontaliers reçoivent une nouvelle exemption du canton. Il existe ici des différences cantonales. Les personnes qui étaient déjà frontaliers avant 2002 et/ou qui sont suisses peuvent demander à la plupart des cantons un renouvellement du droit d’option ; la décision finale est toujours prise par le bureau compétent pour permettre un passage au modèle suisse de la LAMal. Un arrêt du Tribunal fédéral de mars 2015 permet d’obtenir un nouveau droit d’option dans certains cas. Les autres motifs du droit d’option sont : Le mariage, la naissance d’un enfant et le décès.

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Gestion des pensions pour les frontaliers allemands

Épargne-pension bénéficiant d'un avantage fiscal

Depuis 2008, les frontaliers peuvent se constituer un capital de prévoyance de manière intelligente et efficace et générer des avantages fiscaux élevés. Un peu comme les salariés résidant en Suisse avec le pilier 3A. En économisant au moins 100 euros par mois, vous générez d'énormes avantages fiscaux et comblez les lacunes de votre prévoyance vieillesse, car les rentes sont de plus en plus réduites. Pour cela, vous avez besoin de votre employeur suisse. Nous avons le savoir-faire pour vous aider à la mettre en œuvre. Roche, Novartis, Migros, Coop, Universitätsspital Basel-Stadt et Idorsia ont confié la gestion de cette solution à Haysen. Vous êtes à la bonne adresse.

Analyse et planification des pensions

Les frontaliers sont soumis aux systèmes de sécurité sociale allemand et suisse. Lorsque vous commencez à travailler en Suisse pour la première fois, il est donc très important de trouver les bonnes solutions. Avant de prendre ces décisions importantes, il convient de procéder à une analyse détaillée. L'analyse de la prévoyance et des finances comprend la présentation des revenus et des dépenses attendus en cas d'invalidité pour cause de maladie et d'accident + décès pour cause de maladie et d'accident, ainsi que l'analyse des revenus attendus (prestations de vieillesse de l'AVS, de la caisse de pension et des éventuels plans de prévoyance privés) et des dépenses à la retraite. Si les analyses révèlent des lacunes de couverture, Haysen élabore des propositions de solutions avec le client. Un dossier client avec les documents nécessaires est établi et remis.

Investissement des prestations de la caisse de pension

Les frontaliers allemands travaillant en Suisse paient, avec leur employeur, des cotisations sociales au 1er pilier (AVS) et au 2e pilier (LPP, caisse de pension). La caisse de pension est un système de capitalisation. Un capital de prévoyance individuel est constitué. Si vous n'avez pas encore atteint l'âge de la retraite lorsque vous quittez la Suisse, la "partie obligatoire" du capital de prévoyance doit être placée sur un compte de libre passage ou un dépôt en Suisse. On parle alors de "capital de libre passage". Le retrait le plus précoce de ce capital est possible à l'âge de 59 ans pour les femmes et de 60 ans pour les hommes. Le capital "surobligatoire" peut être cédé librement. Toutefois, il peut également être maintenu investi en CH dans le cadre du deuxième pilier. Si l'on réside en Allemagne et que l'on est soumis à l'impôt lors du retrait des avoirs de la caisse de pension, il faut tenir compte de différents points : D'une part, on peut retirer le capital de manière fiscalement optimisée et échelonnée ; d'autre part, il faut tenir compte des aspects du droit successoral. Attention : contrairement aux idées reçues, aucune rente de vieillesse ne provient d'un compte de libre passage ou d'un dépôt ; le capital doit être retiré au plus tard à l'âge de 70 ans. Toutefois, il existe une possibilité de convertir au moins une partie du capital de libre passage directement en une rente de vieillesse suisse, si on le souhaite.

Travailleurs transfrontaliers France

Plus de 180 000 frontaliers français travaillent en Suisse et sont donc soumis à deux systèmes de sécurité sociale différents, ce qui rend les conseils d'autant plus complexes et importants. L'accent est mis sur les questions de prévoyance : assurance maladie, protection contre les risques de la vie (invalidité/décès), épargne retraite fiscalement optimisée, planification de la retraite. Haysen dispose de l'expérience et des connaissances nécessaires pour vous apporter le meilleur soutien possible. Nous déterminons avec vous la couverture dont vous avez réellement besoin et évitons les sur- ou sous-couvertures.

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Solution d'assurance maladie pour les frontaliers français

En 2002, la France et la Suisse ont accordé aux frontaliers en Suisse un droit d'option qui - en dérogation au principe en vigueur dans l'UE - leur permet également de choisir une assurance maladie en France. Suite à une modification de la loi en 2014, les frontaliers qui choisissent la France comme pays d'assurance maladie ne peuvent choisir que l'assurance maladie publique française (CMU).

Les cotisations à la caisse unique française des travailleurs frontaliers s’élèvent à 8 % du revenu fiscal de référence (RFR), diminué d’un abattement forfaitaire de 9654 euros. En plus des cotisations pour l’assurance maladie proprement dite, la « Contribution sociale généralisée (CSG) » et la « Contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS) » peuvent s’appliquer.

La LAMal suisse, quant à elle, est financée par des primes dites de capitation. Celles-ci sont indépendantes du revenu et sont calculées par les différents assureurs-maladie pour les adultes, les enfants et les adolescents. Le système suisse avec primes par tête peut être avantageux. La situation familiale, le niveau de revenu et son évolution à l’avenir doivent être pris en compte dans l’évaluation.

The possibilities to change the system are very limited. A new option is needed. Your Haysen advisor will be happy to help you if you have questions about the new situation and are looking for a solution tailored to your needs.

Le droit de choisir un traitement dans les deux pays n’est pas garanti pour les frontaliers soumis à la CMU. En règle générale, seuls les soins d’urgence sont assurés pour eux en Suisse.

Changement de fournisseur de prestations en Suisse : Avec une franchise annuelle de 300 CHF – elle ne peut pas être augmentée pour les frontaliers – l’assurance de base peut être remplacée par une autre caisse maladie (moins chère) tous les six mois selon le droit suisse.

Les frontaliers assurés selon la LAMal ont droit aux prestations d’assurance en Suisse selon les dispositions de la LAMal pour une personne domiciliée en Suisse, ainsi qu’aux traitements en France selon les usages (régime général ou régime local). Les dispositions relatives à la participation aux coûts et à la limitation des prestations sont applicables.

Changement de fournisseur de prestations en Suisse : Avec une franchise annuelle de 300 CHF – elle ne peut pas être augmentée pour les frontaliers – l’assurance de base peut être remplacée par une autre caisse maladie (moins chère) tous les six mois selon le droit suisse.

Les assureurs complémentaires doivent être choisis avec soin. L’acceptation peut dépendre de l’état de santé. Le maintien de l’assurance doit être garanti si vous cessez de travailler en Suisse. Les lacunes des assurances sociales de base peuvent être comblées par des produits complémentaires. Il faut des assurances complémentaires qui complètent de manière optimale les prestations des deux pays dans les domaines ambulatoire et stationnaire. Il faut également noter que ces prestations peuvent être maintenues à la retraite et sont également garanties dans l’ancien pays d’emploi.
Vous travaillez pour la première fois en Suisse? Êtes-vous déjà un frontalier? Vous allez bientôt (re)vivre en France ?
Alors laissez Haysen vous conseiller gratuitement et sans engagement.

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Gestion des pensions pour les frontaliers français

Analyse et planification des pensions

Les frontaliers sont soumis aux systèmes de sécurité sociale français et suisse. Lorsque vous commencez à travailler en Suisse pour la première fois, il est donc très important de trouver les bonnes solutions. Avant de prendre ces décisions importantes, il convient de procéder à une analyse détaillée. L'analyse de la prévoyance et des finances comprend une présentation des revenus et des dépenses attendus en cas d'invalidité pour cause de maladie et d'accident + décès pour cause de maladie et d'accident, ainsi qu'une analyse des revenus attendus (prestations de vieillesse de l'AVS, de la caisse de pension et d'éventuels plans de prévoyance privés) et des dépenses à la retraite. Si les analyses révèlent des lacunes de couverture, Haysen élabore des propositions de solutions avec le client. Un dossier client avec les documents pertinents est établi et remis.

Investissement des prestations de la caisse de pension

Les frontaliers français travaillant en Suisse paient, avec leur employeur, des cotisations sociales au 1er pilier (AVS) et au 2e pilier (LPP, caisse de pension). La caisse de pension est un système de capitalisation. Un capital de prévoyance individuel est constitué. Si vous n'avez pas encore atteint l'âge de la retraite lorsque vous quittez la Suisse, la "partie obligatoire" du capital de prévoyance doit être placée sur un compte de libre passage ou un dépôt en Suisse. On parle alors de "capital de libre passage". Le retrait le plus précoce de ce capital est possible à l'âge de 59 ans pour les femmes et de 60 ans pour les hommes. La "partie surobligatoire" du capital peut être retirée en espèces. Si vous résidez en France et que vous êtes soumis à l'impôt lors du retrait des avoirs du fonds de pension, il y a plusieurs points à considérer : D'une part, on peut retirer le capital de manière fiscalement optimisée et échelonnée ; d'autre part, il faut tenir compte des aspects du droit successoral. Attention : contrairement aux idées reçues, aucune rente de vieillesse ne provient d'un compte de libre passage ou d'un dépôt ; le capital doit être retiré au plus tard à l'âge de 70 ans. Il existe toutefois une possibilité de convertir au moins une partie du capital de libre passage directement en une rente de vieillesse suisse, si on le souhaite.

Aperçu des différents prestataires et produits. Votre capital est-il investi de manière optimale ? Devez-vous/pouvez-vous retirer une partie de vos avoirs de manière anticipée ? Ici aussi, votre conseiller Haysen vous présente des scénarios judicieux.

Montrez les différents scénarios : Les implications fiscales dépendent de différents facteurs. Moment du retrait du capital, taux de change, taux d’intérêt/stratégies d’investissement des actifs, etc. En collaboration avec des experts fiscaux, Haysen analyse plus que le potentiel d’économies d’impôts. La sécurité financière de la famille, les aspects du droit successoral ainsi que la prévoyance pour une retraite bien méritée sont des sujets très complexes, surtout pour les frontaliers ou les rapatriés. Haysen vous indiquera le meilleur moment pour retirer votre capital et vous expliquera les différentes possibilités d’investissement. Vous pourrez ainsi envisager votre retraite en toute sérénité.

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